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          Les dauphins, décédés les 8 et 13 novembre 2011, sont en réalité, et finalement morts à cause des traitements inadmissibles qu'ils ont reçu dans ces soi-disant magnifiques parcs, luttant pour la préservation des cétacés...RIRES!!!
          Le cerveau de ces deux dauphins était cruellement endommagé par les antibiotiques, mis dans les délicieux poissons morts que l'on sert à ces cétacés captifs, en récompense d'une pirouette, médicaments présents pour camoufler les diverses maladies crées et engendrées par la vie en captivité.
          L'enquête en cours devra encore déterminer si les vétérinaires qui ont prescrit ces antibiotiques se sont rendus coupables d'actes punissables pénalement.
     
          Il est tout de même à noter que des organisations de protection animales, comme OceanCare, avaient déjà déposé plainte contre le parc Connyland en 2010, dénonçant les mauvais traitements infligés aux dauphins, dans ce parc dit de loisir. Le dossier, pourtant étoffé des déclarations des deux « entraîneurs » du delphinarium, avait été classé en novembre 2011 par le procureur en charge de ce dernier. Étonnant n'est-ce pas? Ah, fait important à ne pas oublier...le fameux procureur présidait et préside un club de handball sponsorisé par le parc de loisir...moins étonnant déjà non?! Ce dernier a depuis été dessaisie de l'enquête.

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    suisse
     
          Kathy Riklin (PDC/ZH), suivie par une minorité de la commission, n'aura pas trouvé grâce aux yeux de le Chambre du peuple! En effet, sa proposition d'autoriser la détention de cétacés dans les cas où l'expertise d'un spécialiste, désigné par l'Office vétérinaire fédéral (OVF), conclurait à une installation conforme aux besoins des animaux, a été refusé par 99 voix contre 72. La Chambre du peuple considère ainsi que la majorité des delphinariums et zoos ne sont pas adaptés aux besoins des dauphins et baleines ayant besoin de grands espaces et de liberté, tout simplement.
     
          Isabelle Chevalley (PVL/VD), à l'origine de cette disposition sur l'interdiction des importations de dauphins, a notamment cité plusieurs études démontrant un taux de mortalité beaucoup plus élevé en captivité qu'en milieu naturel, première nouvelle mais passons...
     
          Il est cependant évident que cette nouvelle de la mort annoncée des delphinariums ne réjouie pas l'ensemble de la population Suisse, déplaisir dû fortement aux pertes économiques qui seront alors perceptibles. Ainsi, Kathy Riklin déclare que « Cet article est disproportionné et arbitraire », soutenue par Oskar Freysinger (UDC/VS) déclamant que « [L']On ne peut pas faire une loi pour un animal spécifique ». Quand au conseiller fédéral Johann Schneider-Ammann, une interdiction pure et simple des importations était tout bonnement inenvisageable. Nous sommes à ce jour évidemment remplis de tristesse à l'idée de décevoir ces quelques opposants...
     
          Cette disposition touche directement le parc d'attraction Connyland, seul delphinarium présent en Suisse. Le même, soit dit en passant, qui a vu mourir huit de ses dauphins en trois ans, dans des circonstances liées à de nombreuses controverses. Son activité étant fortement menacé, il est possible de statuer sur quelques tentatives désespérées...affaire à suivre!
     

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    connyland
     
          Alors que le conseille national Suisse s'apprêtait à voter, mardi 29 mai dernier, l'interdiction d'importer des dauphins et baleines, le dernier delphinarium de Suisse, le Connyland de Lipperswil, s'est déjà vu soumettre quelques idées dans le but de contourner cette loi plus que dérangeante pour ses activités financières.
          Fait étrange, ces dites propositions émanent d'Andreas Morlok, responsable de ProWal, une organisation allemande de défense des cétacés...
     
          Ce dernier a donc suggéré au Connyland d'importer, non pas des spécimens vivant, mais du sperme, afin de pouvoir mettre en place un système d'inséminations artificielles.
     
          La conseillère nationale Isabelle Chevalley, promotrice de la loi prête à être votée, s'est penchée très sérieusement sur ces déclarations et s'est exprimée ainsi: « Je vais en parler demain au conseil national. Importer du sperme de dauphin, ce serait contourner l’esprit d’une nouvelle loi qui consiste à rendre impossible la détention de dauphins en Suisse ».
     
          Il existe également un fait, non négligeable, dans cette affaire. En effet, le delphinarium ne dispose plus que d'une seule et unique femelle dauphin. Dans l'idée de la mise en place d'inséminations artificielles, elle serait l'unique cétacés disposé à procréer. Dans ce cas, comment ne pas empêcher le fait qu'elle devienne tout simplement, outre un animal sauvage dédié à une vie miséreuse en captivité, une machine à reproduire?!!
     
          Ainsi, le Connyland ne cesse de s'attirer les foudres des protecteurs des animaux, comme en témoigne d'ailleurs le rapport de la Protection suisse des animaux ci-dessous.
     
    « Là aussi, le Connyland qualifie cette installation d’exemplaire. Le fait est qu’en dépit de dimensions supérieures aux conditions minimales (absolument insuffisantes!) de l’ordonnance sur la protection des animaux, cette détention ne correspond pas non plus aux besoins de ces mammifères marins. 
    Il manque de l’espace pour les 5 animaux, ainsi que de profondeur d’eau (des dauphins comme les grands dauphins détenus au Connyland parcourent 50 à 100 kilomètres par jour et plongent jusqu’à 100 mètres de profondeur); de plus ces animaux sont très sensibles à la qualité de l’eau et de la nourriture. Les conditions naturelles des courants marins (vagues!) sont absentes et pour se nourrir, ils doivent exécuter des sauts pour obtenir du poisson mort, ce qui ne correspond en rien à un comportement conforme à l’espèce. En outre, on continue aujourd’hui à capturer des dauphins dans la nature en cassant ainsi leurs liens familiaux, ce qui, pour ces animaux sensibles vivant en groupes, constitue une expérience traumatisante pour toute leur vie. On ne parvient pas à élever un nombre suffisant de dauphins en captivité pour répondre aux besoins des delphinariums du monde entier. C’est pourquoi les captures dans la nature restent courantes. Chaque delphinarium en activité soutient pour le moins indirectement la capture et le commerce des dauphins puisqu’il entretient la demande de spectacles mettant ces animaux marins en scène et propage une image tout à fait erronée de la nature des dauphins. Ces derniers font de plus partie des rares espèces animales n’atteignant pas, dans les zoos, leur espérance de vie naturelle et qui meurent prématurément le plus souvent du fait de conditions de détention insuffisantes. A ce jour, il n’y a pas de programme d’élevage judicieux de préservation des dauphins si bien que cette détention animale ne peut pas non plus se justifier pour des raisons de protection de l’espèce.
    Les cinq dauphins détenus au Connyland sont aussi, en partie, des animaux capturés en liberté ou ayant un parent capturé dans la nature. Tandis que trois adultes sont essentiellement détenus dans le bassin principal non ombragé et peu profond, une femelle est enfermée avec son petit, né en mai 2011, dans la halle voisine. Ces trois dernières années, le Connyland a vu mourir peu après leur naissance trois dauphins nouveau-nés tandis que trois autres sont morts ou ont été euthanasiés. 
    On essaie dans le spectacle mettant en scène les dauphins de démontrer de quelles prouesses ils sont capables. Les dauphins, excellents élèves, exécutent des tours divers et étonnants, comme effectuer des sauts périlleux, sortir de l’eau et atterrir au bord de la piscine, attraper des anneaux, etc. A l’instar de tous les spectacles de ce genre, il s’agit avant tout de mettre en avant les capacités de l’entraîneur au lieu de rapprocher le public du comportement naturel des animaux. Il n’est pas indispensable d’assister à un spectacle avec musique et animaux dressés pour en savoir davantage sur le caractère et la vie des dauphins. Par contre, on ne peut observer que de façon limitée leur comportement naturel, comme leur capacité de nager rapidement, de plonger et de chasser, de sauter volontairement dans le bassin puisque ce dernier est conçu comme un lieu de spectacle.
     »
     

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          Jusqu’où va la stupidité humaine ? Voilà que désormais, nous marrions les dauphins…Façon de parler ? Non, c’est bel et bien un mariage entre Tarzan et Eve, deux dauphins âgés de 2 ans, qui s’est tenu aujourd’hui au delphinarium de la station balnéaire de Yalta en Ukraine.
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          Ainsi, nos chers dauphins ont dû être ravis d’avoir une cérémonie pour leur union… ! Et pour les alliances me direz-vous ? Elles ont été remplacées par des cerceaux dorés, lancés à nos deux dauphins par des soigneurs leur intimant l’ordre de les faire tournoyer au bout de leur rostre…charmant. Pour finir, nulle cérémonie sans signature. Pour cela, les dresseurs, une fois de plus, sont entrés en action afin que Tarzan et Eve parafent leur contrat au pinceau…rien de plus naturel… !
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         Pour finir, émerveillons-nous en ce jour de Saint Valentin sur la déclaration d’Albert Kurshatov, directeur de l’établissement : « Cela pourra peut-être être mal interprété mais je pense que comme les humains, ils ont droit au bonheur, à fonder une famille et à faire des enfants ». Voilà qui lève le voile sur la connaissance que le personnel des delphinariums a de ce grand cétacé…Tout simplement navrant !  Et notons au passage que le bonheur pour un dauphin, d’après ces pontes de l’industrie des cétacés, est de demeurer en captivité, d’être littéralement gavé de médicaments et de subir des inséminations artificielles afin de donner vie à un delphineau qui ne dépassera pas deux mois…l'évidence même n'est-ce pas ?!<o:p></o:p>
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          L’ignorance est mère de conséquences désastreuses et pour cela, les dauphins, mariés ou pas, seront encore longtemps versés dans les massacres et l’ignominie ! <o:p></o:p>

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          Il est impossible de nier que nous sommes certainement à l'époque où le sort des dauphins est le plus exposé. Documentaires, films, médias...les choses prennent le chemin du changement...et pourtant, les gens ne cessent de se presser à l'entrée des delphinariums. Pourquoi ?
     
     
    Des médias complices
     
     
              - Les Médias qui en parlent...
     
          Certes, les médias, du moins certains, commencent à lever le voile sur la réalité des delphinariums. Cependant, ils restent frileux quand il s'agit d'exposer la réalité des choses, avec son lot d'horreur et de sang. Une question ? Est-il réellement possible de communiquer et de faire changer les choses sans en exposer la réalité vraie ? Pas si sûr...
    Ainsi, s'ils en parlent, ces derniers corrompent quelque peu le savoir que les lecteurs, spectateurs ou auditeurs auront du sujet. N'en parlant qu'à demi-mots, ils minimisent l'importance du problème aux yeux de leur public. C'est pour cela qu'on veut interdire les delphinariums ? Pour si peu ? Inutile d'agir dans ce cas...
     
     
              - Les Médias qui assurent la publicité des delphinariums
     
          D'autres plébiscitent sans vergogne l'activité des delphinariums en en faisant la publicité. N'est-il pas révoltant de voir au sommaire des nouvelles du 20h de France 2, un sujet entier sur le Marineland d'Antibes...? Ce fait, qui m'avait inspiré un article , remet en question la notion de service public sensé être détaché de tout intérêt. Il me semble qu'il est bien étrange de voir fleurir une réclame non dissimulée sur une télévision d'état...
     
    Bref, ces médias entretiennent la vente des billets des delphinariums et créent également l'envie de s'y rendre chez leur public. Ils en viennent même à les défendre, présentant ces établissements comme œuvrant pour la sauvegarde des espèces animales. LA blague au passage...Pas étonnant qu'après cela, dans un monde où les informations sont reines, la population ne voit pas le drame qui se joue au sein des delphinariums.
     
     
              - Les médias muets
     
          Enfin, entre deux eaux, d'autres médias n'évoquent même pas le sujet. Non digne d'intérêt ? Ne voulant pas se positionner ? Une chose est sûre, qui ne dit mot consent...
     
          Cette situation au sein des médias est le reflet d'un manque d'information prégnant quant à la sauvegarde nécessaire des dauphins. Cependant, il fait appel à son penchant, que nous appellerons le manque d'éducation.
     
     
     
    Un manque d'éducation ravageur
     
          Il est souvent affligeant de voir le manque de savoir que les gens ont à propos des dauphins en général. Merci Flipper et autres images édulcorées...la majorité voient les dauphins comme des petites peluches souriantes et adorables...rappelons au passage que les tursiops, notre bien aimé Flipper, tuent pour le plaisir ...
     
    Sans connaître ce cétacé, comment serait-il possible de s'apercevoir de ce qui le tue ?
    Le plus triste dans cette histoire est que personne ne cherche à dépasser cette image créée de toute pièce par l'industrie. Les dauphins sont ainsi, et cette image nous plaît bien, inutile d'aller chercher plus loin...
    Le drame est bien là, le manque de volonté face au désir d'en savoir plus, à dépasser les seules informations exposées, cette résignation face à son manque d'éducation au creux duquel l'on se repose.
    Il y a également et certainement une volonté de se voiler les yeux...Il est parfois dur de s'entrechoquer à une réalité déplaisante et dérangeante. Pour ce faire, il est plus aisé de rester aveugle...dommage que cette politique de l'autruche entraîne la mort de milliers de dauphins...
     
     
          En conclusion, tant que les gens ne chercherons pas à être informés, à dépasser les réseaux médiatiques courants, la situation demeurera...Cependant est-ce que réellement, les gens veulent savoir ? L'homme se caractérise par cet amour égoïste qui le pousse à voir son plaisir avant toutes choses...Oui, il est impressionnant de voir des spectacles de dauphins, oui il est agréable de pouvoir les toucher et nager avec eux mais cela justifie-t-il les massacres perpétués ? Se divertir est-elle une chose suffisamment importante pour cautionner par la même pêche abusives, tueries, maltraitances et horreur ? Inutile de répondre, je crois que chacun sait que rien ne prévaut, que rien n'est assez important pour entretenir ces actes et agissements immondes !
     
     
    Réveillez-vous !

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