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          Pouvant mesurer jusqu'à 8 mètres de long, ce globicéphale est l'un des plus grands cétacés à dents.
     
          Le globicéphale, signifiant « tête en boule », doit son appellation au développement important de son melon frontal. Ce melon contient d'ailleurs un mélange d'huile et de cire, très recherché par les baleiniers car utilisé comme lubrifiant pour des machines de précision. Cependant, il recèle également le système d'écholocation de ce cétacé, très développé. Outre ce don, il est tout autant excellent plongeur, capable de rester 1h30 en apnée, à plus de 1000 mètres de profondeur.
     
          Notre globicéphale fut baptisé « dauphin pilote » car son goût est amplement prononcé pour les jeux et cabrioles dans le sillage et à l'étrave des navires.
     
          Visible ainsi en pleine mer, comme près des côtes, il se nourrit de seiches, de calmars, de morue ou de maquereaux.
     
          Il se déplace en clan familiaux, constitués des femelles, plus petites que les mâles, et des petits. Voilà là une réelle organisation où chacun détient un rôle bien définit. Ainsi, les mâles, moins nombreux, assurent la protection du groupe contre, notamment, les requins et les orques. Si les adolescents font office de nourrices, c'est en réalité l'ensemble du clan qui prend en charge l'éducation des jeunes. Education, par ailleurs longue, car les petits n'atteignent leur puberté qu'entre 9 et 14 ans. Société pouvant être qualifiée de matriarcale, ce sont les femelles les plus âgées qui assurent le statut de « chef de meute ».
     
          Si ce système hautement hiérarchisé semble parfait, il comporte certains risques, à ne pas négliger. En effet, le groupe suit aveuglément son chef, parfois jusqu'à la mort. Défaillance de leur sonar ou tentative de fuite, les globicéphales s'échouent parfois massivement sur les côtes. Les funestes et célèbres pêcheurs des îles Féroé, au large de la Norvège, savent mieux que personne tiré parti de ce fait, pouvant ainsi les décimer plus aisément.
     
          La reproduction de ces mammifères s'effectue dans les profondeurs des océans, où s'éveillent à la vie des petits pesant 80 kilo.
     
          Le globicéphale noir est présent dans l'Atlantique nord et tempéré, en Méditerranée et autour de l'hémisphère sud, dans les eaux froides et tempérées.

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          80 centimètres pour environ 10 kilo à la naissance, ce mammifère devenu adulte se nourrit principalement de poissons et de calmars. Disposant d'un corps robuste et foncé, ses flancs son gris clair, son ventre blanc et sa tête est arrondie et ne présente pas de rostre.
     
          Voilà là un animal bien difficile à observer, même s'il lui arrive de jouer gaiement à l'étrave des bâteaux qu'il rencontre. Rapide et puissant, capable de bondir au-dessus des vagues lorsqu'il s'agit de fuir, l'intégralité de sa tête surgit hors de l'eau lorsqu'il vient prendre sa respiration.
     
          Ne supportant pas la vie en captivité, l'épaulard nain se révèle agressif, dans ce cadre, envers l'homme et les autres cétacés.
     
          Par manque d'observation à l'état sauvage, on suppose que l'orque pygmée préfère les eaux chaudes et profondes tropicales et subtropicales.
     
          Quant aux menaces qui pèsent sur ce frêle timide des océans, la principale s'avère être les filets de pêche.

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          Ce petit delphinidé, d'une moyenne de 2, 50 mètres de long, à une nature discrète malgré sa possibilité d'effectuer des sauts puissants. Gris, avec une cape dorsale plus sombre et un ventre blanc, il est reconnaissable par la longueur de son rostre, long et comprimé.
     
          Visible près des côtes comme au large, il se déplace en groupes moyens allant de 2 à 30 individus, cohabitant parfois avec le dauphin d'Electre, le dauphin de Fraser, voire du grand dauphin.

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          Une forme bien étrange, dénué de tout aileron, des couleurs comme dessinées, choisies, pensées...un résultat fascinant. Cependant, qui dit fascinant dit souvent peu connu, et la règle se confirme ici!
     
          En effet, le lissodelphis austral est très mal connu et les informations le concernant très minces.
     
         Ainsi, présent dans les eaux profondes tempérées et froides de l'hémisphère sud, ce dernier fait de longs sauts à faible hauteur au dessus de l'eau. Se déplaçant par groupe d'une centaine d'individus, il se voit impliqué dans des échouages individuels et collectifs.
     
         Son régime alimentaire de prédilection se compose de calmars et de poissons-lanternes entre autres.
     
         C'est sur ces quelques informations que le mystère reste entier...

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          Le dauphin à flancs blancs est surtout visible dans les zones côtières de l'Atlantique Nord. Cependant, il est également visible près du golfe de Gascogne, du nord-est de l'Amérique à la côte méridionale du Groenland, au large de l'Islande, au nord de la Norvège et enfin, le long des côtes d'Europe.
     
         Il se déplace par groupe de 10 à 60 individus, et peut atteindre le millier à l'occasion de pêches spectaculaires où les poissons se voient pousser dans les fjords par une armée de dauphins. De plus, ce dauphin pouvant atteindre une vitesse allant de 30 à 34 km/h, ces bancs de harengs, maquereaux, saumons ou autres truites de mer apparaissent bien mal engagés.
     
       Côté reproduction, c'est seulement après avoir atteint l'âge de 10 ans que le mâle est en mesure de se reproduire. Après une gestation de 10 à 12 mois, les petits naissent en été, affichant un poids d'environ 35 kilos, et continuant de téter leur mère pendant 18 mois.
     
       La grande menace qui pèse sur ces dauphins est la pêche, horriblement célèbre en Islande par ailleurs! Chassés au harpon, c'est pour sa chair que ce dernier est aujourd'hui décimé et cela depuis une trentaine d'années dans ce pays.

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